[ad_1]
Le mode de consommation des jeux vidéo est en pleine mutation ! C’est entendu, les consoles de salon (Xbox Series X et PS5) et les PC gamers ont encore de beaux jours devant eux. Mais le Cloud Gaming monte désormais en puissance. Il s’affirme comme le futur du gaming ou, au moins, comme une façon complémentaire de profiter de ses jeux préférés.
A l’occasion de l’entrée officielle sur le marché du service de Nvidia, GeForce Now (GFN), qui était en bêta depuis longtemps, nous vous proposons de comparer les trois offres principales, deux de « cloud gaming » et une de « PC cloud gaming ».
Vous retrouverez l’essentiel des informations les concernant dans le tableau ci-dessous et nos commentaires.
Si le tableau ne s’affiche pas correctement, cliquez ici.
- On remarque que les prix varient énormément d’une offre à l’autre. La différence la plus importante se fait entre le couple Stadia/GeForce NOW, d’un côté, et Shadow, de l’autre. Pourquoi ? Le service de l’acteur français a la particularité d’être le seul à donner accès à un PC sous Windows 10. Une machine virtuelle, sur laquelle vous pourrez installer des jeux ou un traitement de texte. Les possibilités sont bien plus riche que celles offertes par l’interface de lancement de jeux de ses deux concurrents.
Néanmoins, le seul proposant du gratuit (hyper limité) à l’heure actuelle (Stadia Base n’est pas encore disponible), c’est GeForce NOW. Cette offre de Nvidia propose ainsi le meilleur rapport qualité/prix pour ceux qui ne veulent que jouer, rapidement et sans retrouver les contraintes d’un PC.
Vient ensuite Shadow qui est le service qui propose trois offres, toutes plus puissantes les unes que les autres.
- Des jeux par dizaines, centaines voire milliers. Shadow – justement – c’est la plate-forme la plus complète du lot pour ce qui est du catalogue potentiel. Vous pouvez tout y installer (jeux, applis, etc.) dans la limite du stockage accordé.
Nvidia GFN n’est pour le moment pas compatible avec tous les jeux, mais il en supporte dix fois plus que Stadia, tout en coûtant moins cher.
- Abordons maintenant les limitations. Seuls Stadia et Shadow vous permettent de jouer autant que vous le voulez, sans déconnexion. Nvidia a choisi, lui, de limiter le temps de jeu, basé sur les statistiques et les données récoltées pendant sa phase bêta. Vous aurez ainsi droit à une heure en continu pour l’offre gratuite, et six pour la formule payante. Seule l’offre gratuite vous impose d’attendre que des places se libèrent sur les serveurs pour reprendre votre partie toutes les 60 minutes.
- Jouer oui, mais sur quoi ? Pour Stadia, les contraintes sont importantes, ça saute aux yeux. L’écosystème Google est mis à contribution et il faut même du matériel dédié pour jouer sur le téléviseur.
GeForce NOW et Shadow sont plus permissifs. PC, Mac, smartphones Android (pour GFN et Shadow) et/ou iOS (Shadow uniquement), téléviseurs connectés (Shadow) ou TV/écrans branchés à une Shield TV (GFN), vous avez le choix et vous pouvez multiplier les plaisirs et les possibilités. Surtout que, contrairement à Stadia, GFN et Shadow acceptent les connexions en 3G/4G.
Ces trois offres sont les plus mûres et les plus riches, mais de nouveaux acteurs vont bientôt arriver sur le marché. Avec son xCloud, Microsoft devrait bientôt rejoindre Sony et son PlayStation Now – que nous n’avons pas intégré dans notre comparatif pour différentes raisons, l’une d’elles étant l’étroitesse de sa relation avec la PlayStation. Les deux géants des consoles s’affronteront donc également dans le nuage. Amazon, autre géant absent pour l’instant du Cloud Gaming, devrait arriver cette année avec son projet Dolphin.
Enfin, d’autres acteurs moins connus, comme LiquidSky, Parsec (présents aux Etats-Unis seulement pour l’instant) ou encore Vortex (accessible en Europe) devraient également faire parler d’eux. La petite révolution du Cloud Gaming se met en branle.
[ad_2]
Source link